-Qu’est-ce que vous regardez ? cria-t-elle, le regard noir.
-Vos yeux
-Mes yeux ? Mais qu’est-ce qu’ils ont mes yeux ?
-Ils sont verts.
Elle se détourna. Il prit son poignet pour la garder près de lui.
-Qu’est ce que vous faites maintenant ? demanda-t-elle toujours en criant.
-Je vais vous embrasser.
Elle le regarda, à moitié effrayée, à moitié pleine d’espoir.
-Et pourquoi feriez-vous cela ? murmura-t-elle.
-Je ne sais pas. Je pense que c’est une bonne idée.
Elle fixa ses yeux.
-Qu’est-ce que vous regardez ? demanda-t-il doucement.
-Vos yeux.
-Mes yeux ? Mais qu’est-ce qu’ils ont mes yeux ? murmura-t-il, sur le point de joindre leurs lèvres.
-Ils sont bleus.
Elle cacha ses émeraudes tandis qu’il cachait ses saphirs. Leurs lèvres se frôlèrent alors que la porte s’ouvrait. Tous deux firent un pas en arrière. Elle rougit mais la couleur de ses joues pouvait être expliquée par la colère qu’elle avait auparavant.
-Vous ne devriez pas vous disputer ! Vous-savez-qui a été vaincu, dit le professeur Chourave alors qu’elle entrait dans la pièce.
En entendant ces mots, le professeur McGonagall se souvint pourquoi elle avait crié pendant presque une heure. Elle se tourna vers son amie pour la prendre à témoin.
-Il a laissé Harry Potter à des moldus ! Il a laissé le fils de Lily et James Potter à sa moldue de sœur ! Comment veux tu que je reste calme ? Tous deux étaient mes élèves ! Ils sont morts…
-Ils connaissaient les risques, la coupa le professeur Dumbledore. Ils attendaient sa visite.
-Vous auriez du être leur Gardien du Secret !
Elle tourna les talons et quitta le bureau du Directeur. Le professeur Dumbledore regarda le Professeur Chourave.
-C’est le seul moyen de protéger la vie de Harry. Elle le sait, mais elle a besoin de temps. Pourriez-vous prendre soin d’elle ? Il reste des Mangemorts, je ne veux pas qu’elle se mette en danger.
-Bien Monsieur le Directeur. Vous pouvez me faire confiance.
Elle commença à s’approcher de la porte puis se retourna.
-Vous tenez à elle, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, répondit-il, c’est mon adjointe.
-Je ne voulais pas dire…
-Moi non plus.
Le professeur Chourave laissa le vieux sorcier seul. Fumseck se posa sur son épaule, il leva la main pour le caresser.
-Evidemment que je tiens à elle ! Qui pourrait faire autrement ?
La porte s’ouvrit de nouveau, doucement. Albus ne le remarqua pas, perdu dans ses pensées.
-Je ne veux que son bonheur. C’est la seule chose qui compte.
-Non, votre bonheur compte, rien d’autre, dit une voix douce. Et vous me devez un baiser.
Fin.
-Vos yeux
-Mes yeux ? Mais qu’est-ce qu’ils ont mes yeux ?
-Ils sont verts.
Elle se détourna. Il prit son poignet pour la garder près de lui.
-Qu’est ce que vous faites maintenant ? demanda-t-elle toujours en criant.
-Je vais vous embrasser.
Elle le regarda, à moitié effrayée, à moitié pleine d’espoir.
-Et pourquoi feriez-vous cela ? murmura-t-elle.
-Je ne sais pas. Je pense que c’est une bonne idée.
Elle fixa ses yeux.
-Qu’est-ce que vous regardez ? demanda-t-il doucement.
-Vos yeux.
-Mes yeux ? Mais qu’est-ce qu’ils ont mes yeux ? murmura-t-il, sur le point de joindre leurs lèvres.
-Ils sont bleus.
Elle cacha ses émeraudes tandis qu’il cachait ses saphirs. Leurs lèvres se frôlèrent alors que la porte s’ouvrait. Tous deux firent un pas en arrière. Elle rougit mais la couleur de ses joues pouvait être expliquée par la colère qu’elle avait auparavant.
-Vous ne devriez pas vous disputer ! Vous-savez-qui a été vaincu, dit le professeur Chourave alors qu’elle entrait dans la pièce.
En entendant ces mots, le professeur McGonagall se souvint pourquoi elle avait crié pendant presque une heure. Elle se tourna vers son amie pour la prendre à témoin.
-Il a laissé Harry Potter à des moldus ! Il a laissé le fils de Lily et James Potter à sa moldue de sœur ! Comment veux tu que je reste calme ? Tous deux étaient mes élèves ! Ils sont morts…
-Ils connaissaient les risques, la coupa le professeur Dumbledore. Ils attendaient sa visite.
-Vous auriez du être leur Gardien du Secret !
Elle tourna les talons et quitta le bureau du Directeur. Le professeur Dumbledore regarda le Professeur Chourave.
-C’est le seul moyen de protéger la vie de Harry. Elle le sait, mais elle a besoin de temps. Pourriez-vous prendre soin d’elle ? Il reste des Mangemorts, je ne veux pas qu’elle se mette en danger.
-Bien Monsieur le Directeur. Vous pouvez me faire confiance.
Elle commença à s’approcher de la porte puis se retourna.
-Vous tenez à elle, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, répondit-il, c’est mon adjointe.
-Je ne voulais pas dire…
-Moi non plus.
Le professeur Chourave laissa le vieux sorcier seul. Fumseck se posa sur son épaule, il leva la main pour le caresser.
-Evidemment que je tiens à elle ! Qui pourrait faire autrement ?
La porte s’ouvrit de nouveau, doucement. Albus ne le remarqua pas, perdu dans ses pensées.
-Je ne veux que son bonheur. C’est la seule chose qui compte.
-Non, votre bonheur compte, rien d’autre, dit une voix douce. Et vous me devez un baiser.
Fin.
